La pandémie du coronavirus a installé une crise qui a mis à genou l’économie mondiale. Et alors qu’on se relève encore difficilement de ce désastre un nouvel variant plonge le monde dans un troisième confinement qui provoquera une nouvelle guerre mondiale si on ne fait pas attention.
Les conséquences sur l’économie mondiale
Guilhem Savry, expert en gestion macroéconomique avait déclaré que ‘’la première conséquence de ce manque de visibilité est de reconnaître qu'à ce stade, nous ne savons pas comment la situation va évoluer‘’. Pour lui, il est donc urgent de prendre des résolutions idoines pour lutter efficacement contre ce mal qui ronge l’économie. Il propose d’ailleurs face à tant d’inconnues de faire face à cette pandémie en ‘’dé risquant les portefeuilles‘’.
Lorsque l’on se penche sur la situation, il est en effet impératif de comprendre que c’est un événement presque sans précédent. Pourtant, les investisseurs sont indécis et peinent à se lancer sur le marché économique à cause de l’amer souvenir qu’a laissé en leur mémoire les années 2008 et 2009. Etant donné que le défis est souvent politique, Guilhem Savry affirme qu'historiquement, le choc macroéconomique, la correction des marchés financiers et la crise de liquidité sont dissociés dans le temps et dans leur relation de causalité‘’.
La réponse des Banques centrales, de la Fed et du FMI
Les banques ont répondu présentes pour servir la politique gouvernementale. Elles n’ont malheureusement pas la capacité de mettre en confiance les investisseurs encore moins les citoyens qui envisagent de faire un emprunt.
Aussi, il est nécessaire de rappeler que la stratégie de ces banques s’amenuise. La réponse la plus évidente face à cette crise serait de redéfinir la réponse budgétaire mondiale mise en œuvre et dépendant des banques centrales. Il est temps de penser à la méthode de la « monnaie hélicoptère » estime l’expert.